Les joints de parquets sont des éléments essentiels à la durabilité et à l’esthétique de tout revêtement en bois. Malgré leur discrétion, ils assurent la stabilité du sol face aux variations thermiques et hygrométriques. Or, le bois, étant un matériau vivant, est soumis à des mouvements naturels qui entraînent parfois la détérioration ou l’ouverture des joints. Ces phénomènes appellent à une bonne compréhension de leur fonctionnement, ainsi qu’à des opérations de rénovation adaptées pour préserver non seulement la beauté mais aussi la fonctionnalité du parquet. Ce guide complet s’attache à décrypter les différentes typologies de joints, les méthodes d’installation, ainsi que les stratégies d’entretien et de réparation, tout en intégrant les innovations des marques reconnues telles que Bostik, Sika, ou encore Blanchon. Vous découvrirez comment choisir les bons matériaux, préparer minutieusement votre support, et appliquer les solutions adéquates pour un résultat professionnel à la fois durable et esthétique.
Table des matières
- 1 Comprendre le fonctionnement des joints de parquets : les bases techniques indispensables
- 2 Quand et pourquoi rénover les joints de votre parquet ? Signes à ne pas négliger
- 3 Les joints de parquet : indispensables ou optionnels ? Rôle fondamental et exceptions
- 4 Préparer et protéger la surface pour la pose des joints : procédures et précautions
- 5 Les matériaux et outils indispensables pour une pose réussie des joints de parquets
- 6 Étapes détaillées pour refaire les joints de parquet : mode d’emploi complet et conseils pratiques
- 7 Entretien quotidien des joints de parquet : astuces pour prolonger leur durée de vie
- 8 Méthodes avancées pour la rénovation des joints dans les parquets anciens
- 9 Questions fréquentes – conseils experts sur les joints de parquet
Comprendre le fonctionnement des joints de parquets : les bases techniques indispensables
Pour maîtriser efficacement la pose et la rénovation des joints de parquets, il est crucial d’abord de saisir leur rôle et leur comportement face aux particularités du bois. Le bois est un matériau hygroscopique : il absorbe et restitue l’humidité de l’air ambiant, ce qui provoque une dilatation ou une contraction dimensionnelle. Ces mouvements varient selon la nature du bois, son taux d’humidité, mais aussi selon les conditions climatiques locales. Les joints jouent ici un rôle indispensable pour offrir un espace de dilatation et éviter que le parquet ne gonfle, ne gondole, voire ne se fissure.
Les différents types de joints présents dans un parquet offrent des fonctionnalités spécifiques :
- Le joint de dilatation : il s’agit d’un espace libre laissé volontairement entre le parquet et les murs ou éléments fixes, comme les conduits de cheminée ou les escaliers. Il permet au bois de se dilater sans provoquer de déformation structurelle. Une largeur de 1,5 mm par mètre linéaire est la norme à respecter, conformément aux bonnes pratiques.
- Le joint de fractionnement ou joint de retrait : il s’applique aux grandes surfaces pour prévenir la fissuration. Cet espace est plus large, pouvant atteindre jusqu’à 18 mm, et se remplit soigneusement avec des mastics ou joints adaptés. Ce joint est indispensable dans des pièces de grande taille, notamment celles dépassant 12 mètres de longueur.
- Les joints de raccord assurent l’étanchéité entre différentes lames et permettent d’éviter toute infiltration d’eau ou poussière, préservant ainsi le bois en dessous.
Les matériaux utilisés pour ces joints doivent être choisis en fonction de leur élasticité, leur résistance à l’humidité et à la température. Par exemple, du mastic de rebouchage acrylique, proposé par des marques comme Bostik ou Mapai, supporte des déformations jusqu’à 15 % et est insensible à l’eau, ce qui est idéal pour la rénovation des joints. Les mastics polyuréthane de type « Pont de bateau » offrent une grande souplesse et une résistance exceptionnelle aux facteurs climatiques. Le silicone, quant à lui, est privilégié pour les zones recevant du carrelage ou mélanges de matériaux.
Type de joint | Description | Fourchette de prix (€ par pièce de joint) | Marques recommandées |
---|---|---|---|
Mastic acrylique | Inodore, sans solvant, prend en charge jusqu’à 15 % de déformation, résistant à l’eau. | 7 à 14 € | Bostik, Mapei |
Joint Pont de bateau (polyuréthane) | Très élastique, incolore, résistant à l’humidité et aux chocs. | 11 à 18 € | Sika, Rubson |
Joint silicone | Élastique, adapté aux zones mixtes parquet-carrelage, disponible en plusieurs couleurs. | 6 à 13 € | Blanchon, Mapei |
Emfimastic acrylique parquet | Destinéaux joints entre murs et plinthes avec bonne tenue et esthétique. | 7 à 10 € | V33, Woca |
Le choix dépendra également de la finition souhaitée, la nature de votre parquet (massif, contrecollé, stratifié) et des conditions d’exposition dans la pièce. Présenter un joint soigneusement sélectionné garantit la prolongation de la vie du sol et la conservation de son charme initial, surtout dans le cadre d’une rénovation. Le recours à des produits professionnels, notamment ceux présents sur Fresh Square, est un gage d’efficacité et de sécurité technique.

Quand et pourquoi rénover les joints de votre parquet ? Signes à ne pas négliger
Il est fondamental d’intervenir sur les joints dès l’apparition des premiers signes de détérioration pour éviter des problèmes plus graves pouvant compromettre l’intégrité du parquet. Le bois, en fonction des variations saisonnières, peut absorber de l’humidité et gonfler ou au contraire se dessécher et rétrécir, causant des fissures, des espaces vides ou des soulèvements.
Voici les indicateurs précis pour déterminer s’il est temps de rénover les joints de votre parquet :
- Écartement des lames : lorsque les lattes commencent à s’écarter, c’est souvent dû à un dessèchement excessif, entraînant des joints trop larges ou cassés.
- Gondolage ou soulèvement : le parquet qui flotte ou se met en position déformée indique un excès d’humidité qui pousse les lames. Les joints sont alors comprimés ou absents.
- Apparition d’ouvertures visibles : lorsque l’on distingue clairement des espaces entre les planches, il s’agit d’un défaut mécanique nécessitant une intervention urgente.
- Vieillissement naturel : les lames se fragilisent au fil des années, et à terme, les joints ne remplissent plus leur fonction d’étanchéité ou de dilatation.
- Inondation ou fuite d’eau : une fuite peut endommager durablement le parquet. Dans ce cas, la réfection des joints devient une priorité pour assainir la surface.
- Absence ou insuffisance de joints de dilatation : un parquet posé sans ces espaces provoque des déformations majeures, rendant la prochaine rénovation indispensable.
En 2025, avec les avancées techniques, il est possible d’intégrer des solutions de jointoiement performantes qui résistent bien mieux aux agressions thermiques et hydriques que par le passé. Les mastics proposés maintenant sur le marché, comme ceux de Parexlanko ou Blanchon, bénéficient de formulations spécifiques pour pallier précisément ces contraintes.
Cette vigilance est fondamentale pour maintenir la qualité d’un parquet, surtout dans des lieux à fort trafic ou soumis à des conditions d’humidité variées telles que les salles de bains ou cuisines. Pour découvrir comment gérer les revêtements sol salle de bains, consultez des ressources spécialisées comme Fresh Square revêtements sol salle bains, qui prodiguent des conseils adaptés à ce type de configuration.

Les joints de parquet : indispensables ou optionnels ? Rôle fondamental et exceptions
Une question récurrente concerne la nécessité réelle des joints de parquet. Même s’ils sont parfois perçus comme de simples finitions, ils sont indispensables pour garantir la pérennité du revêtement en bois.
Les jointures de dilatation, une nécessité technique pour le parquet
Le bois, soumis aux aléas climatiques, nécessite un espace de tolérance. Les joints de dilatation permettent précisément à la surface de parquet de bouger librement sans frottement ni pression. Cette nécessité reste valable quelle que soit la nature du bois, qu’il s’agisse d’un parquet massif ancien ou d’un contrecollé haut de gamme récent.
Sans joints correctement installés :
- Le parquet peut se soulever ou gondoler, endommageant rapidement l’ensemble.
- Des fissures et cassures apparaissent fréquemment, entraînant des réparations coûteuses.
- L’esthétique se dégrade très vite, avec des espaces inesthétiques entre les lames.
Lecritère essentiel reste la largeur réglementaire du joint : on applique la règle des 0,15 % de la dimension linéaire de la pièce. Pour les grandes surfaces, la mise en place de joints de fractionnement s’avère indispensable pour compenser les tensions. Ces joints peuvent atteindre jusqu’à 18 mm sur des longueurs de 12 mètres. Leur couverture par des plinthes de 10 à 14 mm d’épaisseur assure la finition idéale tout en cachant les espaces.
Cas particuliers et exceptions
Il existe des exceptions où le jointage peut être minimal ou adaptatif :
- Parquets fixes sur chape flottante parfaitement étanche et stabilisée, avec température et humidité contrôlées.
- Revêtements stratifiés spécifiques, techniques, qui offrent une certaine souplesse intrinsèque.
- Certains parquets cloués sur lambourdes avec des systèmes d’amortissement exclusifs.
Mais dans le cadre d’une rénovation, notamment lorsqu’il s’agit de parquets anciens, il faut systématiquement vérifier ces joints pour éviter les dommages futurs. Des options comme les joints en silicone teintés (marques comme Osmo ou Bona) permettent de s’adapter discrètement à la couleur du bois pour une finition parfaite.
Type de joint | Utilisation principale | Avantages techniques | Lieux d’application privilégiés |
---|---|---|---|
Joint de dilatation | Autour des murs, piliers, éléments fixes | Permet mouvements thermiques du bois | Pièces de toutes dimensions |
Joint de fractionnement | Grandes surfaces (>12 m) | Évite fissures, répartit les tensions | Espaces très vastes |
Joint silicone ou acrylique | Espaces entre lames ou zones mixtes parquet-carrelage | Élasticité, résistance à l’humidité | Salles de bains, cuisines, seuils |
Préparer et protéger la surface pour la pose des joints : procédures et précautions
Avant d’entamer toute rénovation ou installation de joints, la préparation minutieuse de la surface est un facteur clé de réussite. Un travail bâclé à cette étape peut ruiner l’efficacité du joint et mettre en péril la stabilité du parquet. Il faut donc respecter plusieurs étapes essentielles :
- Retirer complètement l’ancien joint défectueux à l’aide d’un enlève-joint adapté. Cette étape évite les problèmes d’adhérence et garantit un contact parfait avec le nouveau produit.
- Nettoyage approfondi : le canal de joint doit être débarrassé de toute poussière, saleté ou résidus de colle. Un nettoyage à l’aide d’une éponge humide ou d’un aspirateur à main est recommandé.
- Protection des zones environnantes : posez un ruban de masquage pour éviter les débordements qui pourraient tacher le bois ou compliquer la finition.
- Application d’un produit de dissolution sur le vieux joint restant, si nécessaire, pour un arrachage facilité.
- Attendre le temps de pause afin que le dissolvant agisse efficacement (entre une heure et deux en général).
Le choix des outils est également important :
- Pistolet à cartouche solide et ergonomique
- Cutter précis pour découper les embouts
- Papier abrasif fin pour finition
- Éponge, chiffon non pelucheux
- Acétone ou produit de nettoyage spécifique sans danger pour le bois, comme ceux proposés par des marques telles que Blanchon ou V33
L’attention portée à cette phase prémunit contre des défauts récurrents, notamment le retrait inégal du mastic ou la formation de bulles d’air. De nombreuses entreprises spécialisées conjuguent savoir-faire et ingrédients de haute performance, souvent disponibles sur des plateformes comme Fresh Square rénovation parquet ancien.

Les matériaux et outils indispensables pour une pose réussie des joints de parquets
Le succès d’une pose ou rénovation des joints réside dans la qualité des outils et matériaux employés. Il est donc crucial de s’équiper correctement pour obtenir un travail optimal et qui durera dans le temps.
- Choix du joint : privilégiez des produits spécifiques pour parquet, adaptés à la nature de votre bois et à l’environnement (ex : Bostik mastic acrylique, Sika polyuréthane, Rubson silicone pour zones humides).
- Le pistolet à cartouche : doté d’une mécanique fluide et d’une ergonomie adaptée, il permet une application précise et homogène du joint.
- Le cutter : pour ouvrir la cartouche et ajuster la taille de la buse en fonction de la largeur du joint à remplir.
- Le ruban de masquage : protège les côtés du parquet, permet un travail propre et facilite la finition.
- Le papier abrasif : sert à lisser la surface après séchage, nécessaire pour une finition parfaite.
- Produits de nettoyage (acétone, dissolvant doux) : assurent la propreté des contacts avant application.
Il est important de noter que l’utilisation de marques réputées contribue significativement au résultat. Par exemple, appliquer un mastic Blanchon ou Woca sur un parquet stratifié garantira non seulement une bonne adhésion, mais aussi une résistance accrue aux variations climatiques et à l’usure.
Les matériaux doivent respecter certains critères :
- Élasticité Shore A élevée pour une résistance à la dilatation et contraction.
- Dureté Shore D adaptée pour assurer stabilité sans craquelures sous passage fréquent.
- Résistance à l’humidité et aux UV dans les zones très exposées.
Les étapes d’application seront détaillées dans la section suivante, mais la maîtrise de ces outils et matériaux conditionne déjà un déroulement sans accrocs ni déceptions.

Étapes détaillées pour refaire les joints de parquet : mode d’emploi complet et conseils pratiques
Le processus de rénovation ou de pose des joints de parquet suit des étapes précises qu’il faut impérativement respecter pour assurer la qualité et la durabilité du travail. Voici chaque phase expliquée en détail :
- Choix du joint parquet adapté : selon la nature du bois, sa couleur et l’exposition à l’humidité, sélectionnez un joint adéquat. Veillez à ce que le matériau soit compatible avec la finition du parquet (vernis, huile) pour conserver uniformité et résistance.
- Préparation du parquet : retirez le joint précédent si nécessaire, nettoyez en profondeur et protégez les surfaces adjacentes avec du ruban de masquage.
- Application du joint : découpez la buse du pistolet à cartouche avec un cutter en fonction de la largeur du joint à combler, puis appliquez le mastic avec un geste régulier et continu pour une répartition homogène.
- Lissage du joint : humidifiez légèrement votre doigt puis lissez la matière sans appuyer excessivement pour assurer un joint net et régulier.
- Nettoyage immédiat des excédents : avec du papier essuie-tout, éliminez tout surplus avant séchage pour éviter les taches ou surépaisseurs.
- Séchage : respectez scrupuleusement les temps de prise indiqués, généralement de 24 à 48 heures selon les produits utilisés, à température ambiante.
- Ponçage final : utilisez un papier abrasif très fin pour égaliser la surface et harmoniser la finition avec le parquet.
Pour ceux qui souhaitent s’aventurer dans la rénovation complète d’un parquet ancien, ce guide détaillé expose parfaitement les précautions et techniques supplémentaires à intégrer.
Entretien quotidien des joints de parquet : astuces pour prolonger leur durée de vie
Après la pose, l’entretien de votre parquet et de ses joints est une étape primordiale qui doit s’inscrire dans une routine pour garantir longévité et esthétique. Le bois reste un matériau sensible et nécessite un nettoyage adapté, en évitant toute accumulation d’humidité dans les joints.
- Utilisez une serpillière légèrement humide et bien essorée pour éviter que l’eau ne stagne dans les interstices.
- Pour les parquets huilés, privilégiez un nettoyage avec des produits spécifiques comme ceux de Osmo ou Bona, qui respectent l’équilibre naturel du bois.
- Le vinaigre blanc, mélangé avec quelques gouttes d’huile essentielle de menthe pouliot, peut être ajouté à l’eau de nettoyage pour ses propriétés désinfectantes et son odeur fraîche.
- Évitez les produits abrasifs ou contenant des solvants agressifs qui pourraient dégrader les joints, surtout ceux en silicone ou acrylique.
- Si le parquet est stratifié, l’ajout d’une seule goutte de vinaigre dans l’eau suffit pour nettoyer sans altérer ni les joints ni le revêtement.
Ces gestes simples réduisent significativement les risques d’apparition de fissures ou de jaunissement des joints. Une attention particulière est requise dans des pièces où l’humidité se fait plus présente, notamment les cuisines et salles de bains, pour lesquelles un soin renforcé est recommandé.

Méthodes avancées pour la rénovation des joints dans les parquets anciens
Les parquets anciens requièrent un savoir-faire spécifique en matière de rénovation des joints. En effet, la connaissance des matériaux originaux et des techniques traditionnelles est parfois nécessaire pour restituer leur charme tout en assurant la solidité.
Une approche traditionnelle particulièrement efficace est la technique du « flipot ». Celle-ci consiste à insérer une fine latte de bois, d’une teinte similaire à celle du parquet, dans les fentes existantes pour restaurer l’uniformité visuelle et l’étanchéité.
Le processus de pose du flipot se déroule ainsi :
- Taillage de la latte pour qu’elle soit légèrement plus large que la fente.
- Dépoussiérage minutieux de la fente afin d’assurer une bonne adhésion.
- Application de colle adaptée sur les bords internes.
- Insertion du flipot à l’aide d’un maillet et d’une cale pour éviter d’endommager le bois.
- Essuyage des excès de colle immédiatement après la pose.
- Une fois sec, ponçage pour harmoniser la surface et éliminer les irrégularités.
Cette technique, tout en étant artisanale, offre un rendu particulièrement naturel et durable. Elle peut être complétée par un joint mastic acrylique ou silicone pour préserver la souplesse.
Pour approfondir la restauration de parquets anciens, cet article propose un panorama complet des interventions nécessaires. Les marques comme Blanchon ou V33 conservent une place privilégiée pour les produits de finition qui protègent ces sols précieux.
Questions fréquentes – conseils experts sur les joints de parquet
- Comment choisir le bon joint pour mon parquet ?
Il est essentiel d’évaluer la nature du bois, son exposition à l’humidité, ainsi que la taille des espaces à combler. Les mastics acryliques de Bostik ou Mapei sont recommandés pour la plupart des parquets intérieurs, tandis que les mastics polyuréthane ou silicone sont mieux adaptés à des environnements humides. - Quand refaire les joints sans attendre ?
Dès que des fissures, des ouvertures visibles ou un soulèvement du parquet apparaissent. Attendre peut causer des dégâts plus importants, impliquant des réparations lourdes. - Quels sont les outils indispensables pour réussir la pose ?
Un pistolet à cartouche, un cutter, du ruban de masquage, du papier abrasif, une éponge et un produit dissolvant sont nécessaires pour garantir un résultat net et durable. - Comment entretenir les joints après pose ?
Effectuez un nettoyage doux avec une serpillière légèrement humide, sans excès d’eau. Employez des produits spécifiques bois comme Osmo ou Bona, évitez les solvants agressifs. - Peut-on utiliser des joints siliconés pour tous types de parquets ?
Ils sont particulièrement indiqués pour les zones humides ou mixtes parquet-carrelage, mais leur élasticité peut ne pas convenir à certains parquets massifs, où un mastic acrylique reste préférable.